« Banlieusards », un film d’espoir-se motiver croire en- soi

Fin 2020 une année difficile n’est-ce pas ?

Mais je ne baisse pas les bras, je finirai mes activites intellectuelles, de médiatEur, formateur et de philosophe sur le terrain oui le terrain là OU c’est dit difficile : la banlieue avec des jeunes dans un centre socio culturel dévoué et au cœur de Bonneuil sur Marne dans le Val de Marne

Solidarité, Partage, Responsabilité

BANLIEUSARDS-Film de Kery James

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Trois frères issus d’une banlieue sensible de la région parisienne. Soulaymaan, élève avocat à Paris, réussit brillamment ses études. Son chemin croise celui de Lisa face à laquelle il débat sur la responsabilité de l’État dans la situation actuelle des banlieues lors de la finale d’un célèbre concours d’éloquence. Demba, l’aîné, vit aux rythmes du trafic et de la rue. Leur petit frère Noumouké, 15 ans, cherche encore sa voie, et doit choisir auquel de ses deux grands frères il veut ressembler. Une bagarre, un coup de feu, un drame.

Autre point de vue 

« On se découvre presque une âme de justicier devant le film et on s’imprègne très facilement de son univers. On retrouve à travers la figure des deux grands frères Traoré, deux choix de vies possibles qui s’ouvre à Noumouké (le plus petit): rejoindre la vie attrayante mais dangereuse de Demba (Kery James) ou prendre le chemin de l’école qui semble ennuyant et difficile à suivre même si cela rendrait fier sa mère (celui de Soulaymann). Demba est le grand frère un peu paria de la maison sur qui on peut compter si une situation s’envenime, quand le cadet est celui ayant la tête sur les épaules et semble être le plus responsable. On se retrouve donc avec deux frères ayant un style de vie totalement opposé où le benjamin devra faire son choix. »

Après la projection place au débat à la discussion aux échanges pour expliquer confronter les compréhensions et entrevoir une solution des stratégies et inciter à se poser la question difficile : face aux difficultés dois-je subir ou choisir ?

Que m’est-il permis d’espérer ?

Dois-je me dire ou laisser les autres me dire, me raconter, et m’enfermer dans des clichés qui clouent au sol ?

Choisir et décider c’est la question fondamentale de la Vie

Le vivre ensemble est l’idéal qui permettra de nous rencontrer de nous apprécier et de nous faire confiance pour éclore et se lancer vers le meilleur ou le plus probable

Chacun est responsable même si l’Etat est aussi responsable

Traditions, les habitudes, les coutumes, les clichés, l’héritage, etc, que faire, moi ; Etre capable de réflexion et avec des talents à explorer

Il n’y a pas d’échec absolu il y a des mauvais choix, de mauvaises rencontres et pas de conseils

Il manque la capacité d’être boosté, de donner confiance, d’éducation pour être libre, libre de comprendre et de choisir

Il faut faire confiance, aimer et s’aimer, l’estime de foi et refuser le sentiment d’imposture (je ne suis pas à ma place) qui doit décider de ma place et moi que dois-je faire ? J’ai une fierté, une dignité des valeurs et un chemin ou une page à écrire seul ou avec d’autres pour le Bien

Le mal nous guette et c’est notre éducation qui sera notre paravent notre fondation pour dire Non aux mauvais chemins aux sollicitations déviantes aux voies de traverses

Personne n’est à l’abri mais l’humanité doit apprendre à donner la main, tendre la main pour aider chacun à voler de ses propres ailes

Le manque la solidarité face au chacun pour soi qui laisse à la périphérie, hélas

Un très beau film qui incite à la compréhension et à la bonne action pour se conduire

Apprendre à choisir et à décider

Quand on a été bien informé, éduqué et préparé à la vie qui n’est pas un long fleuve tranquille, il est possible de filer droit

Pape B CISSOKO   Formateur interculturel –Philosophe

Lire HIND critique   chacun a son opinion

« Je mets 4 étoiles, qui correspond à un très bien. Ce film donne la gerbe au début, on se dit « c’est vrai, c’est tellement ça la banlieue dans laquelle je vis, ces jeunes tellement irrespectueux, qui ne respectent pas les familles qui vivent dans ces cités, qui ne respectent pas des pères de familles qui ne peuvent même plus protéger leur femme d’un mauvais regard ou d’une réflexion. » Ces jeunes et les plus anciens qui ne sont animés que par l’oseille qu’ils peuvent faire, les rendant hargneux et presque dépourvus d’humanité. La maman des 3 garçons est tellement touchante, elle est tellement à l’image de ces femmes qui ne font plus le poids face à des jeunes que je décris plus haut, qui pourtant sont leurs propres enfants.

Un film sur les clichés, les belles voitures, flamber, l’argent, le paraître, le luxe, la drogue, l’échec-la police, la violence –la pauvreté la maladie, l’environnement, etc ) la décision et le choix , le chacun pour soi ou la solidarité créatrice P B CISSOKO