Florine Amougou ou la passion d’entreprendre par Bruno Fanucchi –Une femme puissante

Trouvé ici et là Portrait d’une femme puissante.

 Une femme de la lumière contrairement aux femmes de l’ombre.

  • Mr FANUCCHI nous donne l’occasion de rencontrer une femme gracieuse et puissante , les deux peuvent se combiner sans modestie. C’est lors d’une conférence que j’animais que je rencontre Florine mais elle ne disait rien bien qu’elle avait un rôle important à jouer dans le dispositif et le protocole. Elle était à l’écoute et observait.

Le 12 octobre 2024 alors que j’avais rendez-vous avec le grand orateur et Maître Pierre Stanley PERONO aux abords des champs Elysée, Avenue Foch, une gracieuse dame m’ouvre la porte et me dit Mr Cissoko, je réponds, moi-même et j’entre dans cet antre où le droit s’écrit , se dit et se pense pour panser les maux ou les biens du monde.

Maître PERONO m’introduit dans la grande salle de réunion et Florine avait disparu sans doute qu’elle était entrain de traiter une affaire . Oui le temps c’est de l’argent.

Longtemps après elle nous revient alors que je n’avais cessé de discuter et échanger avec le polymathe de maître. Elle m’explique le projet ou disons l’évènement du 26/10/2024 autour du livre de Mr Amadou Thierno DIALLO un auteur singulier qui parcourt le monde pour le penser et le panser s’il le faut. Ce jour dédié à la dédicace, notre grande dame a fait montre de sa pertinence en présentant l’auteur, ATD. Un discours précis, inspiré et inspirant.

Nous parlons du Cameroun, son pays, des camerounais que je connais pour avoir écrit dans certains organes de presse, mais aussi avoir tenu la controverse avec feu mon ami le Professeur Etienne Bebbe NJOH auteur de la « Mentalité africaine et problématique du développement ».à la Radio parisienne Africa no 1 avec comme animateur le maestro Jules AHADJI KOMLAN. Nous avons aussi échangé sur le gotha noir cet ouvrage qui met en lumière par l’exemple les africains de la diaspora qui agissent et font de bonnes et brillantes choses en France et à travers le monde.

Florine est consultante en communication institutionnelle et cheffe d’entreprises avec S.

Elle est responsable du développement du Cabinet PERONO CONSEILS.

Ce statut m’était inconnu mais ça me parait juste et opportun qu’un cabinet de cette dimension ait un pôle développement. Ce n’est pas tour=t, cette bonne dame tirée toujours à 4 épingles, est la vice présidente du CITI, OING Membre du Conseil de l’Europe. :

*Le Conseil International pour la Transmission Intellectuelle a pour objet de jouer un rôle de Valorisation, d’Innovation , d’Amplification , de Transmission et d’Echanges

*Conseil de l’Europe ; Les citoyens des 46 États membres du Conseil de l’Europe vivent dans une plus grande sécurité et une plus grande dignité parce que leurs gouvernements protègent leurs droits fondamentaux. La plupart d’entre eux auraient du mal à énumérer tous leurs droits tels qu’ils sont énoncés dans la Convention européenne des droits de l’homme et la Charte sociale européenne. Ils ne connaissent peut-être pas non plus les différentes conventions en vigueur qui couvrent tous les domaines, de la prévention de la torture à la lutte contre la traite des êtres humains, en passant par la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique.

Comme j’aime travailler sur ceux ou celles que je rencontre non pas par voyeurisme mais pour mieux les apprécier il faut les connaître. Comment juger quand on ne sait pas, se demandait Sénèque .P B CISSOKO

Trouvé ici et là -Florine AMOUGOU

*Vice-Présidente en charge de la Trésorerie & des relations avec l’Afrique

Le Conseil International pour la Transmission Intellectuelle a pour objet de jouer un rôle de Valorisation, d’Innovation , d’Amplification , de Transmission et d’Echanges …

*Anastasie Florine AMOUGOU Vice-présidente du Pôle RAPEC Environnement et Directrice générale de Flimex. Elle milite pour accompagner plusieurs associations afin d’optimiser leurs objectifs. Battante et constante elle a toujours été avant-gardiste dans la lutte que mène l’ONG RAPEC pour faire des arts et la culture une source de revenue pour l’Afrique. Elle met son efficacité au service des causes qu’elle défend. Constamment tiraillée entre différents rendez-vous, elle incarne la modernité de la femme franco-africaine d’aujourd’hui. S’occupant de très nombreux dossiers comme femme d’affaire, elle est Responsable Business Affairs pour BDF (Business Development and Financing). Pour répondre à ses objectifs, le RAPEC a créé le 22 mars 2019, le Pôle Environnement, lors de la dernière Assemblée Générale du RAPEC. Connaissant son volontarisme, le Bureau Exécutif du RAPEC, lui propose d’être la Vice-présidente du Pôle Environnement.

Depuis sa nomination elle s’active pour mettre en musique les grandes lignes du Pôle Environnement, avec plusieurs institutions Sociopolitiques, les ONG, les Associations qui œuvrent dans l’environnement. Dans un premier temps, l’axe principal est de permettre accès à l’eau potable dans des contrées reculés en Afrique ainsi qu’à des systèmes de meilleure optimisation des ressources hydriques. En d’autres termes, elle prend à bras le corps des problématiques essentielles pour l’avenir du continent. Elle compte sur toutes les bonnes volontés pour la réussite de sa mission

*GUINÉE/MORY KANTÉ : UNE FONDATION POUR PÉRENNISER SA MÉMOIRE

Pour  la vice-présidente du RAPEC et Conseillère stratégique de ladite Fondation, Mme Florine Amougou, ils ont noué un partenariat avec cette la Fondation International Maria Rosa Mystica parce qu’ils croient aux œuvres de l’artiste. « Nous avons coutume de dire que l’Afrique a du mal à fabriquer ses icônes, Mory Kanté était une icône mondiale, au même titre que Manu Dibango qui nous a également quitté », a conclu Mme Amougou.

| Billetdujour.com

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*Présentation de Anastasie AMOUGOU

Anastasie AMOUGOU dirige 4 entreprises (4 mandats), son mandat principal est Gérant au sein de l’entreprise FLORINE BEAUTE.

Femme hyperactive, cette Camerounaise de la diaspora ayant toujours vécu en France s’est prise de passion pour le Gabon où elle a trouvé sa raison de vivre. Elle a décidé de s’y installer pour y faire des affaires et elle attaque tous azimuts. Attention, rien ne lui résiste !

Afro-parisienne pendant longtemps, Florine Amougou a choisi de s’installer à Libreville dans un superbe appartement sis aux Terrasses de l’Estuaire, qui fait face à l’Atlantique, à mi-chemin entre l’aéroport international et le Palais du bord de mer, siège de la Présidence de la République. « Amoureuse de la nature, j’ai trouvé ici un havre de paix et un véritable lieu pour me ressourcer… La plage est à deux pas même si je suis en centre-ville. C’est idéal pour travailler dans d’excellentes conditions ».

Épicurienne assumée, aimant le confort, pour ne pas dire le luxe, les voyages et les bonnes tables – « C’est pour moi tout un art de vivre » –, Florine est l’aînée d’une fratrie de cinq. Femme séduisante et dynamique, c’est avant tout une « business woman » pur jus. En février dernier à Paris, elle créait Flimex, une structure spécialisée dans la communication institutionnelle, le conseil, le business development et la prestation de services tous azimuts. « Comme je dois gagner de l’argent, je m’adresse à une clientèle plutôt aisée, dont les enfants font souvent leurs études à l’étranger et, grâce au réseau que j’ai développé au fil des ans, je leur trouve les bons plans pour se loger ou faire du shopping à Paris ».

Le goût du challenge

« Ambitieuse » et « teigneuse » d’après ses propres termes, Florine Amougou est du genre à mener plusieurs batailles de front. Aventurière dans l’âme, elle se hasarde toujours plus loin, hors des sentiers battus, s’illustrant dans des secteurs où l’on n’attend pas souvent une femme. « La pisciculture industrielle, par exemple, explique-t-elle. J’adore ce genre de challenges ! » Aujourd’hui, c’est sur le Gabon qu’elle jette son dévolu. « Depuis 2017, ce pays m’a pris par les tripes. Il faut se battre tous les jours car ce n’est pas facile, mais j’aime ça ».

Depuis quatre mois, elle est en train de monter une structure de droit gabonais, et d’y créer de nouveaux partenariats. Et ce, malgré un contexte socio-politique tendu, sur lequel elle ne souhaite pas s’étendre. « Le Gabon, affirme-t-elle, est une terre d’opportunités… Il y a ici encore des niches à exploiter, notamment dans le secteur privé, pour donner à certaines entreprises de la visibilité sur la scène internationale. Je m’évertue à aider les institutions à communiquer et à donner une meilleure image du pays… ».

Ainsi, elle réalise des agendas pour les ambassades, le corps diplomatique et les grandes entreprises avec l’objectif qu’ils s’auto-financent par la publicité. Concret et utile.

Pour la culture et les Africaines

En parallèle, Florine Amougou n’a de cesse de diversifier ses activités « car il ne faut jamais mettre tous ses œufs dans le même panier ». « J’envisage entre autres d’ouvrir ici un restaurant haut de gamme et un institut de beauté, comme je l’avais déjà fait à Paris, avenue de la Bourdonnais, avec Florine Beauté ». Insatiable dans les affaires – une passion qu’elle a développée en travaillant pour plusieurs cabinets de courtage en assurance en France et au Luxembourg –, elle lorgne déjà du côté du Japon et de la Chine. « Mon rêve, c’est de hisser mon entreprise le plus haut possible… Ce qui me motive c’est l’argent et la satisfaction du travail bien fait » reconnaît-elle sans faux-semblant.

Pour autant, aux yeux de Florine, l’appât du gain n’exclut pas le sens des valeurs. « Je suis très engagée dans les associations pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin car je soutiens le combat des femmes qui ont envie de se lancer, mais se heurtent bien souvent à des problèmes de financement. Je les aide par exemple à trouver de nouveaux marchés en leur permettant de venir présenter leur réalisations artisanales ou leurs produits du terroir à la ‘Semaine africaine’ qu’organise l’Unesco chaque année à Paris au mois de mai et qui rencontre un grand succès ».

Même si elle n’a plus aucune fonction officielle au sein du RAPEC (Réseau africain des promoteurs et entrepreneurs culturels), dont elle a été la vice-présidente pendant un moment, « je reste une militante de la cause, conclut-elle, car nous avons besoin de cette organisation pour célébrer et défendre notre culture et notre identité africaine. C’est une excellente chose que les Nations unies aient désigné le 24 janvier Journée mondiale de la Culture africaine (JMCA) ». La cause de la culture et des femmes africaines lui tient à cœur.

De notre envoyé spécial à Libreville Bruno Fanucchi / Photos de Jacques Naismith

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