» Je ne suis pas à ma place, pourquoi se le dire . Il faut savoir que la nature a horreur du vide, faites-vous aider et prenez votre place. L’homme est un loup pour l’Homme. PBC

Cette sensation de fatigue dès le réveil, le petit coup de mou après le déjeuner… On peut s’en débarrasser grâce à des astuces toutes simples ! Notre plan d’attaque anti-fatigue.

Le syndrome de l’imposteur touche beaucoup plus de personnes que l’on croit et peut être un véritable handicap au quotidien. Pour s’en affranchir, une psychologue a livré ses 5 astuces.

Vous avez l’impression de ne pas mériter vos réussites, vous manquez de confiance en vous, ou vous avez peur que votre entourage ne découvre que vous n’êtes pas à la hauteur ? Si vous êtes parasités par ces idées souvent infondées, vous souffrez peut-être du syndrome de l’imposteur. Ce phénomène, qui touche en particulier les femmes, pousse les personnes concernées à douter de leurs compétences, à se reprocher excessivement leurs échecs et à craindre d’être démasquées parce qu’elles ne méritent pas leur place.

Le syndrome de l’imposteur peut être très handicapant au quotidien pour ceux qui en souffrent, notamment dans le cadre social ou professionnel. Néanmoins, ce sentiment n’est pas immuable et il est possible d’aider son cerveau à dépasser ce syndrome de l’imposteur. La psychologue Mathilde Depaulis, alias @mathildedepaulispsy sur les réseaux sociaux, a partagé 5 conseils pour s’en débarrasser.

Comment s’affranchir du syndrome de l’imposteur ? 5 conseils d’une psychologue

Dans son post Instagram, la psychologue livre 5 astuces pour lutter contre le syndrome de l’imposteur et les symptômes néfastes qui l’accompagnent au quotidien.

Adopter une parole intérieure positive

L’experte recommande de privilégier une parole intérieure positive. Elle explique qu’il faut “prendre conscience de ses pensées” et “remplacer celles qui dévalorisent par des affirmations positives”. Elle insiste également sur l’importance de reconnaître ses compétences et ses succès, ce qui peut souvent être compliqué pour quelqu’un qui souffre du syndrome de l’imposteur.

Accepter l’échec

L’échec peut représenter une fatalité pour ceux qui sont atteints du syndrome de l’imposteur mais Mathilde Depaulis rappelle que “l’échec n’est pas une preuve d’efficacité, c’est une étape normale sur le chemin du succès”. Plutôt que de les voir comme des montagnes, elle conseille “d’apprendre de chaque échec et de les utiliser comme un tremplin pour grandir”.

Reconnaître ses succès

S’il est important d’accepter ses échecs, il est également primordial de reconnaître ses succès, selon la psychologue. Elle recommande donc de “prendre le temps de reconnaître et de célébrer ses réussites, grandes et petites”. L’objectif ? Réaliser ce qui a été accompli afin de renforcer la confiance en soi.

Privilégier la comparaison saine

Il est humain de se comparer aux gens qui nous entourent, mais l’experte conseille d’éviter “de se comparer constamment aux autres et de se concentrer sur leurs réalisations”, afin de privilégier une comparaison plus saine. Selon elle, il est davantage positif de se pencher sur ses propres progrès, de célébrer ses succès et d’être reconnaissant de ses propres talents et compétences.

Demander du soutien

La psychologue recommande de ne pas hésiter à demander du soutien, car “il est important de partager ses sentiments aux autres”. Cette aide peut venir de proches, ou bien de professionnels de santé. “Souvent, le simple fait de verbaliser ses sentiments peut être libérateur”, insiste-t-elle.

Syndrome de l’imposteur : pourquoi est-il bénéfique pour sa santé mentale de s’en débarrasser ?

Si le syndrome de l’imposteur peut sembler banal et répandu, réussir à le dépasser pourrait apporter de nombreux bienfaits psychologiques. Selon Mathilde Depaulis, cela permettrait notamment de libérer son potentiel créatif et professionnel, d’améliorer sa confiance en soi, de créer des connexions sociales authentiques, ou encore de se sentir plus à l’aise pour explorer de nouvelles opportunités.

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