La mort est ce qui identifie l’homme à l’animal et ce qui l’en différencie. Comme tout être vivant, l’homme la subit. À la différence de tout être vivant, il la nie dans ses croyances en un au-delà.
La mort est ce qui identifie l’homme à l’animal et ce qui l’en différencie. Comme tout être vivant, l’homme subit la mort. A la différence de tout être vivant, il nie la mort dans ses croyances en un au-delà.
Edgar Morin dégage les attitudes fondamentales des hommes et des cultures à l’égard de la mort.
Il examine l’horreur de la mort, le risque de mort, le meurtre, et les deux grands mythes originaires de la mort : celui de la survie et celui de la renaissance.
Il dégage les croyances concernant la mort dans les grandes civilisations historiques pour en arriver à la crise contemporaine de la mort et aux nouvelles conceptions biologiques sur les relations entre vie et mort. Il examine l’horreur qu’elle suscite, le risque qu’elle représente, le meurtre et les deux grands mythes originaires qui la mettent en scène : celui de la survie et celui de la renaissance. Il analyse les croyances qu’elle inspire dans les grandes civilisations historiques pour en arriver à la crise contemporaine qu’elle connaît et aux nouvelles conceptions biologiques sur les relations entre vie et mort.
Edgar Morin
Philosophe et sociologue, directeur de recherche émérite au CNRS, docteur honoris causa de vingt-sept universités à travers le monde, il est l’auteur d’une œuvre transdisciplinaire abondamment commentée et traduite, dont l’ambitieuse Méthode, en six tomes, publiée au Seuil.