Les travaux du physiologiste Michel Cabanac confirment ce que le sentiment commun supposait : le plaisir accompagne souvent une expérience allant de pair avec l’équilibration du milieu intérieur, la satisfaction d’un besoin.
Néanmoins, ce sentiment n’ignore pas que des occasions d’hédonisme peuvent s’accompagner d’une dégradation des structures physiologiques (toxicomanies, mauvaises habitudes alimentaires, agressivité).
Que penser de ce plaisir ?
Est-il par nature approximatif ?
Cet ouvrage propose l’hypothèse de la « Récompense artificielle » : l’espèce humaine procéderait à une dissociation entre la perception plaisante et le sens biologique régulateur de cette dernière.
Aurélien Fossé-Kitsakis est biologiste, diplômé d’une licence en neurologie et physiologie obtenue à la faculté des sciences de Montpellier-II et d’un master II d’écologie à l’université de Perpignan Via Domitia.
Depuis la fin de mon cursus universitaire en 2012, je me suis consacré à l’élaboration et au développement de la théorie de la « Récompense artificielle ». Celle-ci a pour objet d’étude le plaisir dans sa relation avec les comportements animaux, et humains en particulier. Il s’agit essentiellement de définir les conditions dans lesquelles l’hédonisme et l’utilité biologique ne sont pas séparés et dans quelle mesure l’Homme procède à une telle séparation. Mon premier essai, « L’essence du plaisir », se donne pour mission de poser les bases conceptuelles de cette théorie.
Je suis biologiste de formation, diplômé d’une licence en neurologie et physiologie obtenue à la faculté des sciences de Montpellier-II et d’un master II d’écologie à l’université de Perpignan Via Domitia.
Titre(s), Diplôme(s) : Master II Biologie
Fonction(s) actuelle(s) : Ecrivain(e), Chercheur, Vidéaste
Pays d’origine : France