Une vidéo circule et un citoyen se gargarise de recevoir de l’épouse du chef de l’Eta du Sénégal un soukeurou kor qui pourra le préserver du besoin pendant 12 mois.
C’est dire que ce n’est pas une petite somme.
Pourquoi dans les pays occidentaux ? le statut de 1 ère dame est bien règlementée alors dans les pays dits pauvres, ces épouses jouent et distribuent cet argent à des non-nécessiteux. Au Sénégal on voit la souffrance, la pauvreté, quand, Mme SALL est venue à Paris, les gens l’attendaient comme si elle était une débitrice de billets de banques. Les Blancs se demandaient c’est quoi ; un plaisantin raconte, il y a la femme du chef de l’Etat du SENEGAL qui distribue de l’argent.
Et un vieil homme de dire, moi qui croyait qu’ils venaient quémander en France pour investir dans le pays et éradiquer la misère.
Peut-elle nous dire ou est-ce qu’elle prend cet argent ; les institutions sénégalaises ont un droit de regard sur ces dépenses intempestives et orientées.
Un autre élu F NGOM est nommé Mr Valise d’argents.
La banalisation de la gestion de nos deniers publics est manifeste et c’est une des raisons des frustrations du peuple et à juste titre. Il faut se nommer tel ou tel pour en profiter, il faut être le marabout pour en bénéficier, et le pauvre sénégalais de Niodior que doit-il espérer, est-il moins sénégalais?
Il y a tellement de choses à faire dans ce pays pour marquer le pays mais on préfère se pavaner et distribuer A quand l’éloge du travail et du mérite ?
P B Cissoko
Elles n’ont pas été élues, mais exercent une grande influence. Certaines de ces Premières dames africaines lorgneraient même sur le pouvoir présidentiel.
Le Coordinateur du Forum Civil, Birahim Seck a estimé que le l’Inspection général d’Etat (Ige) doit auditionner la Fondation Servir le Sénégal, appartenant à la Première dame Marième Faye Fall, lors de l’émission Grand Jury de la RFM, diffusée ce dimanche.
« Cette fondation (Servir le Sénégal) récolte de l’argent au nom du peuple sénégalais. Je le dis encore une fois, l’article 6 du statut de l’Inspection général d’Etat donne la possibilité (aux agents) de vérifier tous les organismes qui récoltent de l’argent au nom de la générosité publique, surtout s’ils sont déclarés d’utilité publique », a dit Birahim Seck.
Il a appelé à aller regarder la gestion administrative et financière de la Fondation Servir de Sénégal, se demandant également pourquoi les vérificateurs généraux ne fouillent pas la gouvernance administrative et financière des structure relevant de l’exécutif, du législative et du judiciaire.
« On a jamais vu l’inspection général d’Etat vérifier ou bien publier la gestion l’administration de l’Assemblée nationale et de la Présidence de la République, ne serait-ce que le secrétariat général. Ni un rapport de la Cour des comptes sur les services judiciaires de la gestion administrative et financière du Conseil constitutionnel, qui est un organe de régulation assez important…. », a dénoncé M. Seck, déplorant l’absence de sanction et de suite judiciaire sur ces rapports.
Pour qu’il y ait des sanctions ou des suites judiciaires, Birahim Seck a proposé la proposé la création d’un parquet financier adossé à la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite (CREI) qui permettra à cette juridiction de connaitre toutes les infractions économiques et financières, et tous les rapports produits par les corps de contrôles.
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Marième Faye Sall, « 100% sénégalaise »
La Première dame sénégalaise Marième Faye Sall (à droite, avec Michelle Obama) se présente comme la première épouse de président de son pays « 100% sénégalaise ». Elle est décrite comme un femme au foyer dévouée qui interfère peu dans la politique de Macky Sall. Elle dirige la fondation « Servir le Sénégal ». Son mode de vie conservateur est aussi critiqué.
En 2008 a débuté un marathon de noces pour Jacob Zuma. En quatre ans, il a épousé trois femmes: Nompumelelo Zuma, Thobeka Zuma et Bongi Ngema-Zuma. Il est déjà marié depuis longtemps à Sizakelle Zuma. Des épouses dont les frais coûtent cher aux contribuables. Son ex-femme Nkosazana Dlamini-Zuma, présidente de la commission de l’Union africaine, se verrait bien présidente de l’Afrique du sud.
Aisha Buhari, sans poste
Les Nigérians ont été agréablement surpris quand Aisha Buhari a fait savoir qu’elle respecterait la Constitution et qu’elle ne s’engagerait pas politiquement, mais seulement dans des actions caritatives. En démarrant son mandat, son mari Muhammadu Buhari a supprimé le poste de Première dame dans le pays. C’était, selon lui, contraire à la Constitution et un gaspillage de l’argent public.1
Diplômée en science de l’information et de la communication de l’université de Paris VII, Djene kaba condé est l’épouse du président de la Guinée Alpha Condé. Toujours bien habillé en Boubou, Djene Kaba Condé est la mère de trois enfants.
Grace Mugabe, la redoutée
Longtemps Grace Mugabe est restée à l’arrière-plan, ayant deux enfants avec Robert Mugabe encore marié à sa première femme. Une fois veuf, il a épousé son ancienne secrétaire. Aujourd’hui, Grace Mugabe exerce une grande influence en dirigeant la section féminine du parti au pouvoir. Âgée de 50 ans, elle est pressentie pour succéder à son mari âgé de 91 ans.
De Bernadette Chirac à Brigitte Macron, le budget (très) variable des premières dames
L’épouse d’Emmanuel Macron, dont le statut va être précisé, ne sera sans doute pas la plus dépensière des « premières dames » de la République.
Par Agathe Mercante
Quel rôle ?
Quel statut ?
Quel budget ?
Quelle rémunération pour la « première dame » de la République ?
Les emplois familiaux des élus de la République ont été supprimés dans et l’Elysée souhaite, dans un souci de transparence, éclaircir les attributions de l’épouse du président de la République.
Ce document définira le nombre de collaborateurs auxquels a droit la première dame et lui allouera un budget spécifique.
Ce rôle et ces dépenses, les précédentes femmes de présidents les ont assumés, chacune à sa manière. De l’épouse du Général de Gaulle à Valérie Trierweiller en passant par l’éphémère Cécilia Sarkozy… tour d’horizon des dépenses des Premières dames.
Brigitte Macron : une fonction et un budget à définir
Comme toutes les épouses de président de la République avant elle, Brigitte Macron possède son propre bureau et jouit des avantages inhérents à sa « fonction ».
Le bureau de Brigitte Macron dans le salon des fougères présenté aux enfants autistes #Macron pic.twitter.com/ofY65UNFEE
Aussi, la femme d’Emmanuel Macron dispose, pour l’heure, de trois collaborateurs parmi lesquels son directeur de cabinet, Pierre Olivier Costa. Leur rémunération reste une inconnue qu’éclaircira bientôt l’Elysée.
Valérie Trierweiler : première dame ou première « compagne » ?
Le statut de la compagne de François Hollande a, en 2012, fait couler beaucoup d’encre. Signe de l’évolution des moeurs, Valérie Trierweiler et François Hollande n’étaient pas mariés, à la différence des autres compagnes des chefs de l’Etat.
Quel rôle pour Brigitte Macron à l’Elysée ?>Brigitte Macron passionne les Britanniques
Le sujet du statut de première dame – déjà critiqué – en était d’autant plus épineux. C’est par le biais d’une question écrite du député (UMP) Guillaume Larrivé que l’Elysée a rendu public le budget alloué à la compagne de François Hollande.
« Cinq collaborateurs sont affectés au service de Madame Valérie Trierweiler : deux agents contractuels et trois fonctionnaires mis à disposition de la Présidence de la République. Le total des rémunérations mensuelles nettes de ces cinq personnes est de 19.742 euros », a-t-on indiqué, en 2013.
Carla Bruni : plusieurs collaborateurs et un site internet
Et l’Elysée de préciser, à titre de comparaison, le bugdet alloué à celle qui l’a précédée, la compagne de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni.
« Huit collaborateurs étaient affectés au service de la Première dame en janvier 2012 pour une rémunération mensuelle nette globale de 36.448 euros. A celle-ci s’ajoutaient tous les mois les facturations de deux prestataires externes assurant pour la Première Dame la gestion d’un site internet pour un montant de 25.714 euros, soit une dépense mensuelle totale de plus de 60.000 euros », relevait le gouvernement socialiste.
Cécilia Sarkozy : six mois et une polémique
Première « première dame » sous Nicolas Sarkozy, Cécilia Sarkozy a divorcé en octobre 2007 et quitté l’Elysée dans la foulée, soit 6 mois après l’accession au pouvoir de « l’hyper président ». Elle n’a pourtant pas échappé à une polémique sur ses dépenses. Selon le Canard Enchaîné, l’ancienne Première dame aurait disposé d’une carte bleue débitée sur le compte du Trésor public.
Bernadette Chirac : la plus dépensière
Selon l’ancien député PS René Dosière, spécialiste des dépenses de la présidence française, c’est Bernadette Chirac qui détient le record de collaborateurs.
« Elle avait 21 personnes affectées à son cabinet personnel. Dans le détail, un conseiller technique, une collaboratrice, quatre secrétaires, deux responsables du secrétariat particulier, de rédacteurs, sans compter les membres du service social et deux chauffeurs. » Soit un montant total de 80.000 euros par mois, expliquait-il à VSD en 2013.
Danièle Mitterrand : confusion entre les dépenses du président et de la première dame
« C’était une personne de leur entourage, habilitée à tirer sur le compte de l’Elysée, comme l’aide de camp pour le chef de l’Etat, qui réglait leurs dépenses professionnelles. Mais ce n’était déjà pas très légal », confiait en 2011 au JDD l’ancien ministre de la Défense de François Mitterrand, Paul Quilès.
« J’avais posé la question à l’époque, et on m’avait répondu que tous les personnels de l’Elysée étaient au service du président lui-même, et donc pas de son épouse », se souvient-il.
Des dépenses propres à la première dame difficiles à chiffrer.
Anne-Aymone Giscard d’Estaing : la grande absente
La femme du plus jeune président de la République (avant l’élection d’Emmanuel Macron) avait l’Elysée en horreur. Elle y disposait d’un bureau, mais n’y mettait guère les pieds. De même, Anne-Aymone Giscard d’Estaing ne résidait même pas dans l’hôtel particulier de la présidence.
Claude Pompidou : rénovation contemporaine de l’Elysée
Difficile, dans le cas de la femme de Georges Pompidou, d’évaluer ses dépenses. Tout comme Anne-Aymone Giscard d’Estaing, Claude Pompidou ne goûtait qu’assez peu le rôle de Première dame. Elle s’est pourtant astreinte à résider dans l’Elysée.
PIERRE PAULIN, Dining Room, Palais de L’Elysée , Paris France,
Elle y a d’ailleurs mené la rénovation de l’une des ailes, effectuée par le designer Pierre Paulin. Pour ce faire, Claude Pompidou a fait appel à l’Atelier de création du Mobilier national.
Yvonne De Gaulle : même les courses étaient à ses frais
Charles de Gaulle, dit-on, payait lui-même la facture d’électricité de l’Elysée. Celle que les Français surnommaient « Tante Yvonne » ne différait pas, sur ce point, de son mari, et faisait elle-même ses courses… et à ses frais.
AGATHE MERCANTE