«Un petit livre puissant qui dévoile le théâtre de ce monde. Chacun joue un rôle et chacun peut se lire ou se voir comme dans un miroir ».
Une plume de qualité, une pensée dense qui nous réveille de notre torpeur. Un intellectuel voit et dit. Il décille les yeux il explore pour comprendre et déméler le vrai du faux, comme chez Socrate le simulacre gouvernerait le monde, les liens sociaux sont faux et opportunistes et il faut revenir à la simplicité mais comment faire ?
Un auteur avec un bel avenir à suivre . Cet ouvrage est à lire et à posséder »P B CISSOKO
« Et s’il fallait refaire ? » est un récit de dix chapitres qui tire son existence de deux univers à la fois réels et fictifs. Le personnage principal, Gabriel Massouda, est l’aîné d’une vulnérable famille de cinq enfants. Conscient des difficultés dans un environnement qui ne lui offre aucun cadeau, il décide d’embrasser le monde complexe de la débrouillardise, afin de subvenir aux besoins élémentaires des siens.
Fils d’un père irresponsable et alcoolique, il bénéficie d’une grande assistance de sa mère dans chacune de ses actions, jusqu’au jour où un triste évènement décide de la paralyser. Abandonné à lui-même et toujours à la quête d’un bonheur rêvé pour ses frères, les recherches de travail infructueuses vont le pousser sur le chemin de l’Europe.
Il entreprend un pénible voyage, long de quarante mois, qu’il traverse armé de courage et de détermination, l’emmenant jusqu’à ses rêves.
Pour se frayer une existence dans le nouveau milieu où personne ne semble vouloir de lui, il monte des histoires autour de sa personne afin d’attirer davantage l’attention et la compassion des décideurs. Rejeté tel un malpropre par la justice, il fait appel, gardant espoir que le monde ne lui sera pas, indéfiniment rude. Dans l’attente de la sentence finale qui cache, sans véritable efficacité, un dénouement malheureux, l’ouvrage est mis sous presse.
Et s’il fallait refaire ?
Oui, je le referais ! Le journalisme n’était pas simplement un choix pour moi, c’était une nécessité. Aujourd’hui, il me permet d’être un historien du temps présent, de jouer un rôle dans la sensibilisation des consciences en Afrique, particulièrement sur des questions sociales.
« Diplômé de la 44e promotion de journalisme de l’École supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication à Yaoundé, Jean Marie Kenfack est un passionné de l’univers des médias. Les premiers amours avec la profession naissent le 11 septembre 2001. Les États-Unis sont frappés par des attentats qui réduisent en cendres les tours jumelles du World Trade Center, faisant des milliers de morts. Ce jour-là, un matin d’octobre 1992, le natif de Mbanga, dans la région du Littoral au Cameroun, découvre sur une télévision généraliste française de service public un journaliste qui va l’inspirer et le façonner. Ce dernier y présente une édition spéciale, consacrée à l’horreur qui vient de frapper la première puissance mondiale. Les années qui suivront seront, pour l’auteur, une marche acharnée vers cet idéal. Une marche motivée par une grande envie de dénoncer les injustices sociales qu’il observe autour de lui. Suivant cette logique, il écrit en 2021 en France son tout premier récit intitulé : Et s’il fallait refaire ? »
Rédacteur en chef de AFRIVE N’hésitez pas à lui soumettre vos travaux.
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AfriVe se donne pour mission quotidienne d’informer, sensibiliser et d’éduquer sur des réalités brûlantes du moment, afin que le monde prenne conscience et œuvre à la conception d’un environnement durable
Avril 2023 AFRIVE DIGITAL SERVICES
Lancement de l’agence web Afrive digital Services. Le projet est porté par deux ingénieurs dont un DevOps et un développeur full-stack qui a une dizaine d’années d’expérience. L’objectif visé est l’accompagnement des entreprises dans leur croissance digitale.