, »DÉLIRES, DÉLICES ET DÉRIVES » de JÉLL MBAAM, Roman-El Hadj Songdé Diouf

‘ Un ouvrage riche et dense qui parle à tous et de tout et Khalifa DIAKHATE de dire « l’auteur met le couteau dans la plaie. Aucun secteur n’est épargné. Un Regard panoramique impressionnant »

Mamadou DIALLO Pr de lettres  » Le philosophe Hadj Songdé DIOUF observe avec une rare lucidité les différents segments de sa société viciée tous par des pratiques qui n’ont pour seul soubassement que la recherche individuelle du salut    Ecrire pour l’auteur c’est se souvenir »

Madiéyna B DIALLO Magistrat « on ne devrait lire que des livres qui nous piquent et nous mordent » KAFKA

–Il nous écorche vif et, dans un style quasi hypnotique, nous oblige à nous contempler dans un miroir que nous nous surprenons espérer déformant ; tant nous n’aimerons pas l’image pourtant réaliste de nous-même et de notre société qu’il reflète »

Songde « Les mots de l’amour sont comme l’amour que l’on fait, ils demandent la nuit, quémandent le soleil, l’éclat à nul autre pareil de la clarté laiteuse de la lune nocturne, la lumière sans égal la nuit »

Pape B CISSOKO, je suis animateur et créateur de café philo. On m’appelait philo au lycée. Un ami me demande si je connais un philosophe sénégalais qui me ressemble dans la façon de dire et démocratiser la philosophie sans la galvauder. Quand je regarde l’émission Mots pour Maux j’acquiesce et je salue la mise en scène et le contenu. Puis récemment dans un groupe des anciens du lycée Djignabo j’apprends que ce penseur est aussi un ancien de Djignabo.  Lui que j’ai défendu, sans le connaître, dans le texte à une époque récente. Puis Songde me demande si je suis bien celui qu’on appelait « philo » au lycée Djignabo alors qu’il était dans des classes inférieures. Il se souvenait de moi et voici note petite histoire…

DÉLIRES, DÉLICES ET DÉRIVES DE JÉLL MBAAM Roman-El Hadj Songdé Diouf Préface de Djibril Samb

Extrait de la préface du Pr Djibril SAMB

 » A la base de ce roman philosophique, deux personnages aux noms programmatiques : Lifa-Dëkulfeen et Fatima-Feendëkul.

Lifa-Dëkulfeen est un personnage complexe qui cherche refuge dans un recoin de la mémoire et se lance dans une problématique quête de sens et d’authenticité.

 Ce « cérébral » a toutes les références et même les manières de faire d’un philosophe.

 Fatima-Feendëkul est une femme du terroir, d’une beauté faite d’un « mélange de sauvage, de suave, de doux » , une beauté qu’on peut qualifier d’instructive en empruntant le lexique géologique.

Qu’on garde à l’esprit, toutefois, que cette dame imposante, sans en avoir l’air, sait aussi ruminer une pensée philosophique structurée.

C’est la flamboyante romance entre ces deux personnages atypiques que décrit El Hadj Songdé Diouf  » (extrait de la préface de Djibril Samb)

Diplômé de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, El Hadj Songdé Diouf est professeur et formateur en philosophie.

Professeur et  formateur en philosophie bien connu et apprécié du grand public sénégalais pour ses interventions dans les télés et radios ;, il est chevalier de l’ordre national du mérite.

Achetons les livres et soutenons  nos auteurs

Pape B CISSOKO  Paris le 12/12/2020