A la lecture des derniers rapports et des derniers articles concernant les dérives sexuelles de nos sociétés (féminicides, incestes, viols d’enfants, etc.), on ne peut qu’être atterrés par le volume et l’accroissement permanent des crimes. Mais il y a pire.
Bizarrement, sur toutes les mesures prises ou étudiées (repérage des agresseurs et des victimes, augmentation de la sévérité des sanctions, accompagnement des victimes, estimation du coût financiers des conséquences de ces violences, etc.) aucune ne concerne la recherche des causes profondes de cette ahurissante évolution du pourrissement de nos sociétés.
Or, ces causes sont parfaitement connues. Comment se fait-il qu’on n’en parle pas ? Comment éradiquer le mal si on ne le prend pas à sa source ?
Les sujets tabous ont la vie dure. On se lamente. On sait que l’origine du mal vient du secret qui entoure tout ce qui se passe dans les alcôves et même ailleurs. On a inventé l’éducation sexuelle à l’école mais c’est une éducation indigeste.
On ne parle que de maladies et de dangers et jamais d’amour et de respect. Tout ce qui se trouve au-dessous de la ceinture fait peur. Comment voulez-vous que l’enfant débarque sainement dans la vie d’adulte ?
On parle pudiquement d’âge ingrat et on laisse le temps et le hasard des rencontres faire son œuvre. On voit le résultat. Il est temps, me semble-t-il de changer son fusil d’épaule. Je ne suis ni éducateur, ni juge.
Mais comme tout citoyen, je constate les dégâts et je ne comprends pas qu’avec les connaissances actuelles, notre malheureuse société se montre impuissante face à ce drame, ce pourrissement.
C’est probablement une autre éducation que nous devrions dispenser à nos enfants, un autre modèle de vie que nous devrions leur montrer. Sans cela, les frustrations et leurs corollaires, les crimes sexuels, continueront.
Ce comportement collectif est indigne d’une société civilisée. Il est tout de même ahurissant que ce type de pourrissement est absent chez de nombreuses sociétés primitives. Serions-nous une société en régression, une société perdue, une société condamnée parce que, tout simplement, nous avons inventé une sorte d’omerta sur l’acte sans lequel nous n’existerions pas ?
De la part et avec les compliments du MAPG
(Mouvement Aristocratique et Populaire pour la Gaudriole)
Le puritanisme nous dessèche chaque jour davantage,
il a déjà réduit à peu près à rien la gaudriole impromptue des arrière-boutiques.
Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932.
Pour un Monde plus équilibré
(Le monde des humains a tout faux)
- Les banquiers ne sont pas des gestionnaires mais des spéculateurs
- Les enseignants ne sont pas des éveilleurs de conscience mais des gaveurs de connaissance
- Les hommes politiques ne sont pas des animateurs intelligents de la tribu humaine mais des démagogues
- Les industriels ne construisent pas l’avenir du Monde mais s’enrichissent sur le dos des hommes et de la planète qu’ils détruisent
- Les médecins ne sont pas des spécialistes de la santé mais de la maladie
- Les agriculteurs ne cultivent pas la terre, ils la tuent.
- Les pêcheurs, les marchands de pétrole ou d’uranium et bien d’autres, abusent d’une ressource limitée qui ne leur appartient pas
De la part et avec les compliments du MAPG
(Mouvement Aristocratique et Populaire pour la Gaudriole)
Le puritanisme nous dessèche chaque jour davantage,
il a déjà réduit à peu près à rien la gaudriole impromptue des arrière-boutiques.
Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932.
Pour un Monde plus équilibré
(Le monde des humains a tout faux)
- Les banquiers ne sont pas des gestionnaires mais des spéculateurs
- Les enseignants ne sont pas des éveilleurs de conscience mais des gaveurs de connaissance
- Les hommes politiques ne sont pas des animateurs intelligents de la tribu humaine mais des démagogues
- Les industriels ne construisent pas l’avenir du Monde mais s’enrichissent sur le dos des hommes et de la planète qu’ils détruisent
- Les médecins ne sont pas des spécialistes de la santé mais de la maladie
- Les agriculteurs ne cultivent pas la terre, ils la tuent.
De la part et avec les compliments du MAPG
(Mouvement Aristocratique et Populaire pour la Gaudriole)
Le puritanisme nous dessèche chaque jour davantage,
il a déjà réduit à peu près à rien la gaudriole impromptue des arrière-boutiques.
Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932.