La pauvreté est devenue le terrain de jeux interdits des pervers qui se dissimulent de toutes les manières pour assouvir leurs vices dans les pays pauvres ou sur des personnes précaires pauvres etc.
Ce phénomène est mondial.
Mais ce qui est plus manifeste c’est la façon dont ces pervers se dissimulent dans le pays les familles les écoles au nom de l’humanitaire de la solidarité pour mal agir.
On le sait tous les étrangers ne sont pas des pervers. La perversité, la pédophilie ont toujours existé partout dans le monde mais il y a un silence et une complicité qui étouffent les faits.
Mais qu’est-ce que la pauvreté pour comprendre comment cette faille ce manque est un lit béni pour certains qui jouent avec la monnaie et le pouvoir.
« La pauvreté est une situation socio-économique malheureusement très présente au XXIe siècle et qui touche surtout les pays les moins développés. Les régions d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine sont parmi les plus touchées. L’objectif à long terme est l’élimination de la pauvreté et de la marginalisation dans le monde. »
De quoi s’agit-il et pourquoi nous revenons sur ce sujet.
Dans Senegaldirect on lit ceci « Au Sénégal dans le cadre d’un projet humanitaire, le Français Brice Theret a été arrêté dès son retour en France pour vi0l sur des filles et garçons, âgés entre 11 et 14 ans. Les font ont eu lieu à Keur Mbaye Fall en 2019. Ses victimes logeaient dans un centre de l’Adtp « Eléments terres ».
Selon les informations de Libération, pendant plusieurs mois, Brice a violé ou filmé nu des enfants défavorisés -garçons et filles. Après son forfait, il leur remettait de l’argent pour leur faire taire.
Le plus grave dans cette affaire, lorsque les enfants ont commencé à parler, la directrice du centre (une Sénégalaise) n’a pas daigné saisir la justice pour ne pas salir l’image de son centre. Arrêtée, elle a été relâchée après audition. Mais il est fort probable que le parquet ouvre une information judiciaire contre elle pour non dénonciation de crime.
Ce n’est qu’une fois en France que les autres volontaires, qui étaient avec Brice Theret lors de son séjour au Sénégal, ont fait un signalement avant que le parquet d’Orléans ne soit saisi. C’est ainsi que la procureure Emmanuelle Bochenek-Puren a ouvert une information judiciaire qui a abouti à la détention de Brice Theret pour agressions sexuelles sur des mineurs de moins de 15 ans, corruption de mineurs et pédopornographie aux mineurs par personne ayant autorité ».
En Afrique, à Haiti, à Madagascar, la liste est longue, les délinquants sexuels traqués dans les pays riches se payent des voyages ou sous prétexte d’actions humanitaires se fondent dans les familles, la masse et en sourdine assouvissent de façon « Hybris », orgueilleuse, outrageante; agression, démesurée, insolente, transgressive,
Cela est punie et il faut le dire haut.
J’ai dirigé pendant 20 ans les centres de loisirs en France et quand je devais recruter du personnel j’étais l’un des rares directeur qui osait proposer la question de la pédophilie pour que les choses soient claires. Et j’interdisais que les animateurs portent les enfants ou que ses enfants s ’assoient sur les animateurs.
Tous ne sont pas pervers mais il ne faut rien banaliser.
Avertir pour freiner les pulsions ou tentative d’exercer le pouvoir afin d’assouvir leurs vices.
Le loup se cache dans la bergerie pour commettre ses dégâts et méfaits.
Nous avions tous cette habitude de suivre ou d’ouvrir nos portes généreusement aux étrangers surtout à tout ce qui est blanc et sent l’Occident donc la « richesse ».
Précisons que tous les occidentaux ne sont pas riches et certains économisent longtemps pour se payer des vacances qu’on appelle tourisme sexuel.
Il faut éviter ces contacts et il faut contrôler l’accueil chez soi. Le loup n’a plus de couleur y compris dans notre propre famille.
Les pervers sexuels sévissent aussi en intrafamilial il faut le savoir ils ne viennent pas forcement d’ailleurs.
Avant en Afrique l’étranger pouvait dormir avec les enfants ou à côté des enfants et qui sait dans le noir ce qu’il peut faire.
Avec la pauvreté extrême et le besoin de s’enrichir vite ; l’argent achèterait tout en Afrique ‘ mbarane etc), c’est devenu un passeport pour entrer partout et promouvoir certaines pratiques.
Il y a beaucoup de figures de ces attitudes ou comportements qui corroborent mes propos, les étudiantes pauvres et la prostitution pour payer les études, les hommes pauvres et l’homosexualité, les pervers, les mères pauvres et la prostitution déguisée, les pédophiles dans les dairas ou dans l’église, etc.
Il faut de la prudence sans tomber dans la ,psychose, c’est comme la chasse aux albinos pour faire fortune. Il faut plus de vigilance et protéger les enfants, c’est un droit.
Grace aux NTICS, les citoyens sont vigilants et dénoncent les pervers mais ils sont très forts et arrivent à tromper le monde et les forces de l’ordre.
Mais tôt ou tard ils seront pris et incarcérés la preuve avec Brice THERET.
On se pense à l’abri et les bouches se délient et la parole se dit et l’information connue le Procureur ou la justice se met en branle et qu’on ne vienne pas nous parler du Maasla, comme cette directrice complice qui a laissé faire cet énergumène qui salit le volontariat et l’action des humanitaires sérieux.
Le sujet est maitrisé et je vais juste vous donner quelques titres et vous comprendrez. Il faut lutter contre la pauvreté et éduquer les enfants à la prudence.
Nous devons changer nos mentalités en ne laissant pas n’importe qui porter les enfants ou jouer avec les enfants. Informer sur les dangers dans le mannequinat, le cinéma, chacune et chacun veut réussir vite sans mesurer les travers dissimulés.
La pauvreté favoriserait la corruption des mœurs, il faut faire attention, un enfant de la rue, un enfants talibé, un enfant sorcier, un enfant est une «proie» facile, alors il faut que les parents sachent que faire des enfants exige une responsabilité et c’est un projet. On ne fait pas des enfants pour les confier à la rue. L’Etat a une grande responsabilité de protection et de sécurisation des enfants.
Vigilance partout et tolérance zéro
Titres et écrits trouvés ici et là pour mieux comprendre et se prémunir
« Pauvreté, fragilité sociale et action politique »
A une époque où chacun se voit sommé de réussir et d’être performant, sans doute n’a-t-on jamais autant parlé de mal-être social et de pauvreté. Dans ce contexte, la fragilité prend la forme d’un fardeau, d’une charge, voire d’une pathologie. Elle risque de rimer avec échec et malheur. Les plus affaiblis par les logiques économiques actuelles et la pression sociale éprouvent un surcroît de tension. Ils ne trouvent plus d’espaces de reconnaissance et souffrent de voir sur l’écran de télévision l’argent s’étaler ; alors que leur quotidien devient de plus en plus précaire. Une culture du ressentiment se développe, anémiante pour la société.
Dans De la démocratie en Amérique, Tocqueville parlait déjà, en 1840, du sentiment qui dispose chaque citoyen à s’isoler de la masse de ses semblables, se retirant à l’écart avec sa famille et ses amis ; de sorte que, après s’être ainsi créé une petite société à son usage, il abandonne volontiers la grande société à elle-même. L’abstention encore importante d’un côté et la tentation extrémiste de l’autre montrent l’accélération de ce processus. La question des repères, du « lien social », du vivre ensemble, se pose alors de manière cruciale. Sans noircir la réalité, qui comporte aussi des pôles de résistance, la situation actuelle appelle une mise à plat : quelles sont les conditions d’un « vivre ensemble » qui permette à chacun de trouver sa place et à la société d’être facteur de lien ? Quelles postures politiques adopter face à l’inquiétante montée de la pauvreté et des inégalités sociales ?
Voici quelques années, des acteurs sociaux, convaincus que notre avenir était porteur d’espérance, agissaient avec la conviction d’avoir prise sur leur existence. Ils trouvaient dans une philosophie de l’histoire, dans de grands récits d’émancipation, portés par un mouvement ouvrier fort, des ressources pour agir. Aujourd’hui, la méfiance vis-à-vis du politique, la césure entre histoire et promesse, la crise des appartenances sociales et la mondialisation néolibérale laissent parfois les citoyens avec un cruel sentiment d’impuissance. Nous voilà interrogés de manière radicale sur les ressources pour retrouver goût à l’action contre l’injustice, l’oppression et l’exclusion ; et, plus positivement, pour que chacun – en particulier les plus défavorisés –, ait sa place.
Dans cette contribution, je voudrais rappeler combien la mise au ban de la société d’un certain nombre de catégories sociales relève, non seulement d’une cruelle injustice et d’une atteinte à la dignité de nombreuses personnes, mais d’une mise en danger de notre démocratie. D’où la nécessité de penser une saine reconnaissance, tout en mesurant cependant les limites de cette notion. Et, face à la logique libérale, de souligner l’importance de prendre en compte le concret de la situation des individus. Nous nous arrêterons, en particulier, sur la considération nécessaire de l’ espace comme dimension politique. Finalement il s’agira ici de montrer la nécessité de renverser les imaginaires contemporains, et d’orienter les actions dans le sens d’une politique de la fragilité.
Pauvreté, acosmisme, reconnaissance
Depuis la nuit des temps, le pauvre, l’exclu, celui dont l’existence se confond avec la misère, vit une double souffrance : l’expérience du manque et de la « rareté » ; celle du mépris, de la stigmatisation ou du rejet. « Un pauvre parle-t-il, dit le Livre du Siracide, et l’on dit « Qui est-ce ? » et s’il trébuche, on le pousse pour le faire culbuter » 1. Or cette expérience de la mise à l’écart, ou du mépris, n’atteint pas seulement la dignité de la personne concernée, elle contribue de manière indirecte à gangrener la démocratie. Étienne Tassin a bien montré, à la suite de Hannah Arendt, les dangers pour les parias de nos sociétés de perdre le souci du monde. Ce processus renvoie à ce que la philosophe du politique appelle un « acosmisme de déliaison ou de fusion ». Le premier se caractérise par un rejet du monde, un repli sur soi et une « émigration intérieure » qui rapportent au seul moi le tout de l’existence. La seule logique d’accumulation prônée par le capitalisme se traduit par une absence de souci pour monde. Alors que l’acosmisme de la déliaison sépare les individus par une focalisation sur le moi, celui de la fusion procède d’une union des individus conquise contre le monde et par identification au tout de sa communauté 2. Les « persécutés » se rapprochent au point de faire disparaître le monde en éliminant tout ce qui est entre eux et les tient séparés les uns des autres. Ceux qui se replient sur eux-mêmes se montrent indifférents aux autres ; ils éprouvent des difficultés à comprendre le monde hors de leur intérêt propre. Ils perdent le sens des nuances et manquent de discernement. L’extrême pauvreté, en particulier, réduit l’être humain à son seul corps et à ses manques : la souffrance endurée enferme celui qui l’éprouve en lui-même, le rendant inaccessible 3.
Face à une telle situation, il est nécessaire d’insister sur l’importance de l’amour, du droit et de la solidarité comme modalités de la reconnaissance 4. L’amour relève des relations primaires qui, sur le modèle des rapports érotiques, amicaux ou familiaux, impliquent des liens affectifs puissants entre un nombre restreint de personnes. La reconnaissance juridique permet au sujet de comprendre ses actes comme une manifestation, respectée par tous les membres de la communauté, de sa propre autonomie. Enfin, avec la solidarité, les personnes goûtent à l’estime sociale, ce qui leur permet de se rapporter positivement à leurs qualités et à leurs capacités concrètes. L’expérience de l’amour donne accès à la « confiance en soi ». L’expérience de la reconnaissance juridique permet le « respect de soi ». L’expérience de la solidarité donne accès à l’« estime de soi ».
Contextualité et politique
Face à un morcellement du sens, la logique libérale propose de penser le « vivre ensemble » à partir d’individus abstraits 7, coupés de leurs cultures, de leurs origines et regroupés par des principes formels – liberté, égalité, fraternité – qui contrastent souvent avec la réalité sociale. Or il conviendrait plutôt de penser l’organisation politique de la société en prenant en compte les êtres humains dans leur contextualité 8. Nous ne prendrons qu’un exemple, celui du rapport à l’espace. L’instabilité de l’homme contemporain, du pauvre en particulier, le rythme de l’accélération du temps, la multiplicité des nouvelles techniques, qui virtualisent l’espace et évacuent le corps 9 contribuent, d’une certaine façon, à faire de l’être humain de notre époque un individu à la fois décentré, sans patrie et en exil. Cet « être humain » ressent alors le monde comme inhumain, violent et menaçant. Face à cette situation, il convient, plus que jamais, de défendre l’idée selon laquelle l’espace est politique et stratégique. S’il paraît neutre, de prime abord, indifférent par rapport au contenu, c’est justement parce qu’il est occupé, aménagé, déjà objet de stratégies anciennes. Mais de stratégies dont on ne retrouve pas toujours les traces. L’espace a été façonné et modelé à partir d’éléments historiques ou naturels, mais politiquement. La production de l’espace ne peut pas se comparer à la production de tel ou tel objet particulier, de telle ou telle marchandise. Et cependant, il y a des rapports entre la production des choses et celle de l’espace. Certains groupes particuliers s’approprient l’espace pour le gérer, l’exploiter. Cette dimension de la condition humaine est un produit de l’histoire 10. Et s’il résulte fréquemment d’une logique étatique ou mercantile, il est souvent, pour les citoyens les plus défavorisés, synonyme de passivité et d’impuissance. Défendre un véritable « droit à l’espace », à l’urbain, devrait être l’occasion, pour les individus, d’accéder au rang de citadins-citoyens. Cela implique une réelle politique de la participation, mais aussi un souci particulièrement volontaire de mixité sociale.
D’un côté, dans les civilisations postindustrielles, les nouvelles technologies dématérialisent l’espace du citoyen. Les sociétés hyper technicisées – avec téléphone portable, répondeur, messagerie électronique, télétravail… –, se croient des civilisations de la communication; or elles se réduisent plutôt à une « connexion vide » souvent enfermée dans l’ethnocentrisme. D’un autre côté, des hommes marqués par la pauvreté se voient condamnés à « vivre » dans des ghettos ou des banlieues stigmatisées.
S’il convient de promouvoir une véritable politique de l’espace, il s’avère essentiel de penser non pas une politique pour le pauvre, mais à partir et avec lui. Comment promouvoir des individus autonomes et une société où les règles soient réellement l’objet d’une production par les citoyens eux-mêmes ? En particulier par ceux qui, de par leur fragilité sociale, ont souvent rompu avec les pratiques citoyennes de participation au débat public ? Plutôt que de dire « vous avez la parole », il vaut mieux donner concrètement les moyens pour que cette expression dans l’espace social se développe : la formation à la prise de parole, le développement d’outils culturels contribuant à former des individus libres et responsables.
Une révolution copernicienne
Le défi actuel consiste à chercher le sens du vivre ensemble, en gardant comme axe essentiel non plus la performance ou la compétition, mais la fragilité. Une telle visée nous invite à une véritable révolution copernicienne des valeurs, à de nouvelles manières de penser notre vivre ensemble. Pour l’individu, comme pour la société, quel équilibre trouver entre le dépassement et le consentement à la « fragilité » ? Promouvoir une « politique de la fragilité » ne consiste pas à s’apitoyer sur la souffrance des pauvres ou des exclus. Il ne s’agit pas de penser l’organisation de la cité, de la société, avec une surcharge émotionnelle envers les opprimés, mais d’appréhender la socialité de l’existence à partir d’un des éléments essentiels de la condition humaine, la fragilité.
Qu’il s’agisse d’une société ou d’une personne singulière, être « soi-même », avec ses blessures, sa vulnérabilité, c’est assumer une identité que l’on n’a pas choisie et, en même temps, se construire dans le questionnement critique des valeurs reçues, des idéaux et des rencontres que l’on fait. Lorsque l’on accueille en soi la fragilité et qu’on lui donne même une dimension politique, quelque chose de notre rapport à l’autre change. La personne agressive rencontrée dans la cage d’escalier, le compagnon de travail armé de paroles blessantes pour autrui ou le jeune délinquant nous apparaissent également comme blessés et vulnérables. La violence de leurs propos, de leur attitude, se révèle comme une fragilité qui ne parvient pas à se dire, une manière maladroite de formuler une demande d’amour. Nous voici invités à porter sur eux un autre regard : chemin vers un avenir partagé. À l’inverse, même s’il ne s’agit aucunement de l’évacuer, toute expression de la « force » n’ouvre pas une voie pour faire route en humanité. Il existe même une « fragilité de la force », celle de l’autosuffisance. Celle qui consiste à se penser comme étant à soi-même sa propre référence, son unique fondement. La force de celui qui pense ne pas avoir besoin des autres, de celui qui croit qu’une existence se passe en jouant des coudes.
Une politique de la fragilité valorise la capacité des sujets à avoir prise sur leur existence, à agir sur la réalité et à modifier quelque chose du monde ; en assumant et dépassant, parfois, la vulnérabilité, grâce à l’action et au partage avec autrui. Le problème de la pauvreté demeure une question éminemment politique posée non seulement aux élus, mais à l’ensemble des citoyens.
Pauvreté, fragilité sociale et action politique | Revue Projet (revue-projet.com)
Les enfants constituent la majorité des pauvres dans le monde et, pour toute tentative sérieuse de réduction de la pauvreté, il faut pende en compte l’impact de cette politique sur les enfants. De plus, une sortie permanente et durable de la pauvreté nécessite de la part des responsables politiques une focalisation sur le développement de l’enfant. La malnutrition, l’insuffisance …
À l’heure où la violence faite aux enfants devient grande cause nationale 2014, le rapport sur l’exploitation sexuelle des mineurs dresse un bilan alarmiste.
- LA PÉDOPHILIE DANS LES PAYS PAUVRES
Posted by Alexandra DRIEGHE |
Ne fermons pas les yeux devant ces actes monstrueux envers de pauvres enfants … La pédophilie provoque de nombreux dégâts dans nos propres pays riches, mais qu’en est il réellement dans les pays pauvres ?!
C’est suite à un reportage sur m6 que j’ai décidé de faire cet article. En effet, j’ai été horrifié de voir toutes ces monstruosités faites à ces pauvres enfants. Je connaissais le tourisme sexuel avec les jeunes femmes qui pouvaient avoir 16 ans, mais pas celui que je vais vous présenter.
Aujourd’hui, dans des pays comme le Cambodge, la Thaïlande ou encore le Kenya, ce sont aussi les enfants, parfois très jeunes ( 3 ans ), qui sont utilisés comme joujoux sexuels.
Les enfants qui ont une famille sont même « adoptés » par ces pervers pour la maudite somme de 500€ ( ou moins ). Les parents acceptent volontiers, croyant que leurs enfants vivront mieux : avant ils n’allaient pas à l’école, passaient leurs journées dans les déchets pour trouver de quoi s’habiller et manger. L’adoptant est vu comme un sauveur, et les enfants n’osent pas parler, de peur de perdre les avantages offerts en échange de cette sexualité.
Certains ne sont pas adoptés, et les « gérants » de ces actes odieux font croire aux parents qu’on veut leur enfant quelques heures pour faire des photos, ou des petits travaux, et que cela leur apportera de l’argent.
Quant à ceux qui vivent dans la rue sans famille, les choses ne se passent pas mieux. Des personnes les « engagent » et les font vivre dans de minuscules pièces où ils attendent les clients. Ils ne comprennent pas ce qu’ils font, la seule chose qui comptent c’est leur « récompense » qui leur permet de trouver quelque chose à manger.
Des ONG ( Organisations Non Gouvernementales ) se regroupent dans certains de ces pays, pour protéger les enfants. Mais cela n’est pas suffisant, car le gouvernement ferme bien trop souvent les yeux face à ces agressions : il ne faut pas oublier que dans ces pays, la plupart des revenus se font grâce au tourisme.
Au Kenya par exemple, il n’y a ni ONG, ni lois qui protègent ces enfants.
On savait que l’homme était un loup pour l’homme, mais de là à offrir des enfants innocents à des pervers, c’est pire que tout ce qu’on pouvait imaginer. Que deviendront-ils à l’âge adulte ? Sans éducation, sans morale, avec tous ces traumatismes …
La pédophilie dans les pays pauvres – Come4News
Gambie : Le paradis des pédophiles
Un grand nombre de prédateurs sexuels profitent des lois laxistes de ce pays africain frappé par la pauvreté pour se lancer en aventure où ils ciblent ouvertement les petits garçons et les filles.
Sun Online a pu constater à quel point les enfants gambiens pauvres peuvent être vulnérables aux pédedos britanniques lorsque nous avons visité les stations balnéaires qui parsèment Kololi sur la pittoresque côte atlantique du pays.
Notre journaliste était constamment choqué par le nombre de mineurs africains non accompagnés qu’il voyait soignés par des hommes occidentaux d’âge moyen qui ne semblaient pas être leurs pères biologiques.
Les rencontres observées comprenaient une fille âgée de six à huit ans en train de déjeuner avec un homme chauve aux cheveux blancs dans un restaurant rempli de touristes du même âge.
Le même jour, nous avons vu un homme robuste, la cinquantaine ou la soixantaine, patauger dans l’océan en agrippant la main d’un petit enfant africain en short de bain blanc.
Tout aussi troublante était la vue d’un bambin gambien regardant les yeux écarquillés de peur alors qu’une femme blanche d’âge moyen se battait avec une jeune prostituée noire dans un bar de plage populaire.
Il était 23h30 le soir et l’air était épais de fumée de cigarette. L’enfant, qui n’avait pas plus de deux ans, était tenu étroitement par un homme blanc avec un accent britannique.
Enfants vendus pour 2 £
Notre enquête intervient alors que les experts avertissent que la crise économique déclenchée par l’effondrement de l’agence de voyages Thomas Cook aide à transformer l’ancienne colonie britannique en un «paradis pédophile» où les pervers peuvent opérer sans contrôle.
Thomas Cook a transporté 45% des 100 000 visiteurs annuels de la Gambie du Royaume-Uni vers la capitale Banjul jusqu’à ce qu’il soit mis en liquidation sous le poids de ses dettes en septembre.
Dans une interview exclusive, Lamin Fatty, le coordinateur national de l’Alliance pour la protection de l’enfance en Gambie, révèle que les touristes, hommes et femmes, ciblent les mineurs africains.
Il prévient: «Le sexe est bon marché dans mon pays et les enfants sont vendus pour aussi peu que 150 dalasis, soit un peu plus de 2 £ dans votre devise.
«Certains parents savent que leurs enfants sont maltraités et ils l’acceptent parce qu’ils ont tellement besoin de nourriture dans leur ventre.
«D’autres sont trop naïfs pour s’en rendre compte. Ils pensent que l’Occidental paie leurs factures et aide leur garçon ou leur fille par la gentillesse de leur cœur, alors qu’en réalité ils ont de mauvaises intentions.
«La maltraitance des enfants se poursuit tout le temps en Gambie et le gouvernement n’en fait pas assez pour y mettre un terme.
«Nos enfants sont approchés directement sur les plages ou dans la rue et les agresseurs d’enfants de toute l’Europe, y compris du Royaume-Uni, viennent ici pour cela.
Je tiens à préciser que cela ne concerne pas seulement les hommes mais aussi les femmes adultes qui paient pour des relations sexuelles avec des adolescents en Gambie
«Nous avons des lois qui sont censées empêcher cela de se produire, mais elles ne sont pas appliquées, nous sommes donc devenus un paradis pour les pédophiles.
Alors que le tourisme représente un tiers du PIB du pays, on craint que les entreprises ne tombent en panne et que les habitants ne souffrent de la faim après une baisse estimée de 50% de l’activité économique qui a déjà frappé les stations balnéaires.
L’avocat et défenseur des droits des enfants Malick Jallow a déclaré à Sun Online: «Si certains touristes voudront toujours aider les Gambiens pauvres, d’autres verront cette situation comme une opportunité d’exploiter les jeunes enfants.
«Le problème est que les abus sont parfois perpétrés avec la bénédiction des parents parce qu’ils en ont tellement besoin.
«La perception est que les blancs, ou« toubabs »comme ils les appellent, ont des piles d’argent et ces parents sont souvent ravis que leur enfant ait attiré l’attention d’un homme blanc.
«En fait, ils se sentent fiers alors ils donnent leur permission au garçon ou à la fille d’aller avec la personne et lorsque la police essaie de les interroger, ils ne coopéreront pas.
L’enseignant norvégien Svein Agesandakar, 57 ans, a été reconnu coupable d’avoir abusé de six enfants, le plus jeune âgé de trois ans, en 2006
Le tribunal a appris comment il s’était frayé un chemin dans une famille gambienne endurcie en se faisant passer pour un bienfaiteur, donnant aux parents des sacs de riz et de nouvelles chaussures en échange de temps seul avec leur grande couvée de six enfants dans une chambre d’hôtel
Le pédophile a fait l’objet de condamnations distinctes pour maltraitance d’enfants en Norvège mais a été condamné à seulement trois ans de prison.
Puis, en 2018, le président Adama Barrow a décidé de lui pardonner pour des raisons qui n’ont jamais été expliquées.
La grâce a ensuite été révoquée au milieu d’un tollé public, mais les experts craignent que son cas n’ait donné son feu vert à d’autres pédophiles.
traduit en Français par smc, article original theSun
Sociologiedesafro.com
Gambie : Le paradis des pédophiles – NetAfrique.net
L’Afrique n’est pas le paillasson des pervers et des pédophiles . Stop et respect.
Luttons contre la pauvreté