La Tyrannie du Bien – Dictionnaire de la pensée (in)correcte Guy Mettan (Auteur) Paru le 22 avril 2022 Guide (broché)

« Cet auteur que je découvre grâce à notre ami Gorgui Wade NDOYE est un personnage inspiré et qui bouscule la pensée unique. Il me semble qu’il veut inverser le courant des choses pour que l’humanité constituées de gens différents se respectent et s’écoutent. On, ne doit pas imposer on doit écouter. Et travailler ensemble «. La conférence du 25 aout 2022 à Genève à la Presse Suisse a été de haute facture »

 

Le Bien est partout. Il nous poursuit de ses assiduités. Il nous traque sans pitié. Il projette ses métastases jusque dans les plus
intimes replis de nos vies. Il gère, manage, planifie, assiste. Il légifère, confine, vaccine, condamne, bombarde, tue. D’empire, le
Bien est devenu tyrannie.
Car la quête frénétique de la vertu est devenue une obsession universelle. Elle ne se limite pas aux cercles woke et aux ONG bienpensantes.
Elle est aussi pratiquée dans les salons feutrés des conseils d’administration, les bureaux open space des managers, les antichambres inclusives des ministères, les amphithéâtres aseptisés des universités et sur les réseaux sociaux qui se sont mis en tête de censurer les manifestations supposées du mal.
Cette tyrannie, il est urgent de la dénoncer. C’est ce que se propose ce guide, qui piétine avec jubilation les plates-bandes du pêt-à-penser économiquement, culturellement et
politiquement correct.
Dans la veine caustique d’un Philippe Muray, il désarme les ressorts de la softlangue, ce nouveau langage qui s’emploie à emmieller le vocabulaire et à le noyer de néologismes à consonance anglaise pour mieux répandre ses méfaits.
Il en ressort un inventaire des idées reçues qui réjouira ceux qui n’en peuvent plus des postures et des impostures, des hypocrisies
et des faux-semblants engendrés par cette recherche éperdue d’un Bien qui finit par faire beaucoup de mal.
Guy Mettan n’est pas un robot ni un algorithme. Journaliste et écrivain, il a écrit des centaines d’articles et une dizaine de livres. Il a notamment écrit Russie-Occident, une guerre de mille ans (éditions des Syrtes, 2015, 2022), traduit en six langues et Le Continent perdu (éditions des Syrtes, 2019).

IN WIKIPEDIA ON PEUT LIRE CECI AVEC PRUDENCE

« Guy Mettan, né le 19 novembre 1956 à Evionnaz (originaire du même lieu), dans le canton du Valais, est un journaliste et une personnalité politique suisse, ancien membre du Parti démocrate-chrétien (PDC).

Biographie

Guy Mettan naît le 19 novembre 1956 à Evionnaz, dans le canton du Valais1. Il en est également originaire2.

Il suit ses études secondaires de 1975 à 1979 à Genève. Pendant cette période, il fonde la revue universitaire Courants dont il est également rédacteur en chef3.

Ayant obtenu son diplôme en sciences politiques, il effectue un premier stage au Journal de Genève de 1980 à 1983[réf. nécessaire]. Il travaille ensuite au Temps stratégique jusqu’en 1989, à Bilan jusqu’en 1990, puis au Nouveau Quotidien de 1991 à 1992, pour finalement se retrouver directeur et rédacteur en chef de la Tribune de Genève, à la suite de l’acquisition de ce quotidien par le groupe Edipresse[réf. nécessaire]. Dans le cadre de travaux de l’UNESCO, il propose de créer un serment déontologique des journalistes3.

En 1998, Guy Mettan se fait évincer de son poste à la Tribune de Genève.

Le 8 février 2017, la Russie lui décerne la médaille de l’amitié4 et Reporters sans frontières l’accuse de servir de relais à la propagande de la Russie5.

Il est marié6 a adopté une fille russe7 en 1994, ce qui lui a valu l’obtention de la nationalité par décret présidentiel8.

Parcours politique

Il est élu conseiller municipal de la Ville de Genève en 19999.

Depuis 2001, il est député au Grand Conseil du canton de Genève, qu’il préside entre novembre 2009 et novembre 201010. En 2019, il démissionne du Parti démocrate-chrétien et fonde le parti Planète bleue[réf. nécessaire]. Sous ces couleurs, il se présente en octobre 2019 aux élections du Conseil national, obtenant 0,88 % des voix[réf. nécessaire]. Apparentée à celle des Vert’libéraux, sa liste contribue à l’élection du premier conseiller national vert’lib du canton de Genève11.

Autres activités

En 1996, il crée et anime le Business Club Romand à Zurich. En 1998, il préside la Fondation EMA « qui a pour but d’offrir aux pays du Sud un meilleur accès aux capitaux, aux technologies et aux marchés internationaux »12.

En 2001, il est nommé vice-président de la Chambre de commerce Suisse-Afrique de l’Ouest, en 2005 de la Joint Chambers of Commerce Suisse-Russie puis en 2006, président de la Croix Rouge genevoise. La même année, il fonde le Club suisse de la presse, dont il est président puis directeur exécutif. Il quitte cette fonction à la fin 201913.

En parallèle, il est également fondateur et coordinateur du Festival francophone de philosophie de Saint-Maurice, au Valais14.