Galas des 4, 5 et 6 avril : aucune amende ni sanction sanction financière grâce aux nouvelles mesures

C’est un ouf de soulagement pour les lutteurs qui ont combattu à l’arène nationale lors des journées du vendredi 4, du samedi 5 et du dimanche 6 avril 2025. Alors que l’arène a adopté de nouvelles mesures prises par le ministère des Sports et le CNG, aucun lutteur n’a été sanctionné financièrement lors de ces galas de lutte.

Les nouvelles mesures prises par les autorités en charge du sport commencent déjà à se faire ressentir dans l’arène. Après les combats organisés du vendredi 4 au dimanche 6 avril à l’arène nationale, aucun incident majeur n’a été déploré sur et en dehors de l’arène.

Ces nouvelles mesures qui garantissent la sécurité des amateurs sont aussi bénéfiques pour les lutteurs. En effet, aucun lutteur n’a été financièrement sanctionné lors des galas organisés à l’Arène nationale les vendredi 4, samedi 5 et dimanche 6 avril 2025.

« Pour la première fois, aucun lutteur n’a été financièrement sanctionné. Lors des journées tenues les 4, 5 et 6 avril 2025, les lutteurs qui étaient au front ont reçu l’intégralité de leurs reliquats au CNG,» a informé Lamine Sow, le chargé de communication du CNG, rapporté par Le Soleil.

Pour rappel, le ministre de l’intérieur avait décidé de lever la suspension de la couverture sécuritaire des combats de lutte depuis le 1ᵉʳ avril. Cette décision a été prise après une concertation avec les acteurs de la lutte et le CNG et cinq mesures fortes ont été adoptées. Parmi les plus grandes mesures prises, il a été retenu que le coup d’envoi du premier combat d’une journée de lutte devra être donné à 16 heures précises. Le grand combat devra être sifflé, au plus tard, à 18 h 30.

Ces décisions vont surement arranger les lutteurs, mais également les amateurs de la lutte et le CNG. Les lutteurs ne vont pas perdre assez de temps dans la préparation mystique et seront prêts avant le début de leurs combats. Ce gain de temps permettra aux lutteurs d’échapper aux sanctions pécuniaires du CNG. Le comité de gestion de lutte gagnera aussi du temps pour l’organisation des combats.