Sénégal retour aux vieilles pratiques -quand une certaine police frappe- cogne et donne la mort-mort atroce de Adama Keita-ROSSO-Stop

-Je signale que la justice a vite réagi et a sanctionné 2 policiers et tant mieux , personne au dessus des lois. Presse du 02/07/2025

Je sais que nous avons des gradés de haut niveau, formés dans de grandes écoles  à travers le monde

ROSSO – Supplice au commissariat : Talla Keita, 18 ans, battu, brisé… puis emporté par une septicémie…le procureur ordonne une enquête judiciaire complète et une autopsie  dakaractu

« Qu’est-ce qui a changé de ce côté de la sécurité » au lieu de protéger on défonce et on amoche et la mort s’ensuit. Mais qui sont ces hommes de tenues qui ne prennent pas des gants pour exercer leur mission surtout quand aucune résistance n’est opposée. Il est temps comme l’indique la sociologie de la déviance ou de la criminologie de revoir le pedigree de certains fonctionnaires de police qui profite de leur tenue pour abuser et finalement donner la mort. Sonko a connu les affres de la police et tant d’autres. Je pense à cette journaliste malmenée dans la 4/4 de la police à la vue de toute l’humanité et j’aimerais savoir la suite .  Une loi d’amnistie avait été votée il me semble mais force doit revenir a l’Etat et il faut reformer les agents de sécurité surtout sur l’utilisation de la force. J’ai eu de la peine pour ce jeune de Rosso et je présente mes condoléances à sa famille mais j’exige la justice. 2 policiers ont été limogés et jugés responsables. C’est déjà un premier pas , mais Talla n’est plus  je citerai  le Colonel Abdoulaye Aziz NDAWde la gendarmerie .

Deux choses le préoccupaient , la corruption et la TORTURE. Son sermon fut-très clair : «  être gendarme oui et à condition que tout ce que tu manges soit le fruit exclusif de ton travail ; en outre ne jamais faire Souffrir quelqu’un par Usage Abusif du pouvoir de la Loi » Pour l’honneur de la gendarmerie l’harmattan tome 1 page 30

«  Stop Violence «  P B CISSOKO

À Rosso Sénégal, l’affaire fait frémir jusqu’aux murs du commissariat. Talla Keita, un jeune homme de 18 ans, est mort le 29 juin dernier dans d’atroces souffrances, onze jours après son interpellation par deux policiers. Une mort qui révolte une ville entière, secouée par ce que beaucoup considèrent comme une bavure policière de trop.

Selon les informations glaçantes révélées par L’Observateur, Talla aurait été arrêté sans ménagement dans la nuit du 17 au 18 juin 2025, vers 2 heures du matin, par des agents du commissariat spécial de Rosso. Il est embarqué, puis conduit au poste. Sa sœur, Adama Keita, le suit, poussée par l’angoisse. À son arrivée, elle découvre un spectacle d’une rare violence : Talla gît sur le sol, inerte, le visage tuméfié, les lèvres gonflées, sa tête baignant dans son propre sang.

Des photos accablantes, dont L’Observateur détient copie, montrent un jeune homme brisé, le corps manifestement passé à tabac. Selon la famille, les agents Thiam et Badji sont directement impliqués. Ces derniers ont depuis été interpellés par la hiérarchie policière dans le cadre d’une procédure disciplinaire.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là.

Le Procureur de Saint-Louis, Baye Thiam, saisi par l’émoi public et un certificat de genre de mort accablant signé du Dr Moussa Guira, chirurgien oncologue, a ordonné une enquête judiciaire complète et une autopsie. D’après ce certificat médical, que L’Observateur a pu consulter, Talla Keita a été admis à l’hôpital le 18 juin avec un traumatisme facial sévère et des douleurs abdominales aiguës. Les médecins ont rapidement diagnostiqué une péritonite généralisée causée par une fracture hépatique. S’en est suivie une dégradation rapide : déséquilibre hydroélectrolytique, infection généralisée, puis septicémie sévère.

En dépit des soins, Talla a succombé le 29 juin. Un enchaînement tragique que sa famille relie directement à la bastonnade subie quelques jours plus tôt.

Le parquet a instruit le commissariat central de Saint-Louis pour qu’une enquête approfondie fasse toute la lumière sur les circonstances de cette interpellation funeste. La Brigade de proximité de Rosso Sénégal enquête désormais sur des faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, une qualification qui pourrait rapidement évoluer à la lumière des résultats de l’autopsie.
À Rosso Sénégal, l’affaire fait frémir jusqu’aux murs du commissariat. Talla Keita, un jeune homme de 18 ans, est mort le 29 juin dernier dans d’atroces souffrances, onze jours après son interpellation par deux policiers. Une mort qui révolte une ville entière, secouée par ce que beaucoup considèrent comme une bavure policière de trop.

Selon les informations glaçantes révélées par L’Observateur, Talla aurait été arrêté sans ménagement dans la nuit du 17 au 18 juin 2025, vers 2 heures du matin, par des agents du commissariat spécial de Rosso. Il est embarqué, puis conduit au poste. Sa sœur, Adama Keita, le suit, poussée par l’angoisse. À son arrivée, elle découvre un spectacle d’une rare violence : Talla gît sur le sol, inerte, le visage tuméfié, les lèvres gonflées, sa tête baignant dans son propre sang.

Des photos accablantes, dont L’Observateur détient copie, montrent un jeune homme brisé, le corps manifestement passé à tabac. Selon la famille, les agents Thiam et Badji sont directement impliqués. Ces derniers ont depuis été interpellés par la hiérarchie policière dans le cadre d’une procédure disciplinaire.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là.

Le Procureur de Saint-Louis, Baye Thiam, saisi par l’émoi public et un certificat de genre de mort accablant signé du Dr Moussa Guira, chirurgien oncologue, a ordonné une enquête judiciaire complète et une autopsie. D’après ce certificat médical, que L’Observateur a pu consulter, Talla Keita a été admis à l’hôpital le 18 juin avec un traumatisme facial sévère et des douleurs abdominales aiguës. Les médecins ont rapidement diagnostiqué une péritonite généralisée causée par une fracture hépatique. S’en est suivie une dégradation rapide : déséquilibre hydroélectrolytique, infection généralisée, puis septicémie sévère.

En dépit des soins, Talla a succombé le 29 juin. Un enchaînement tragique que sa famille relie directement à la bastonnade subie quelques jours plus tôt.

Le parquet a instruit le commissariat central de Saint-Louis pour qu’une enquête approfondie fasse toute la lumière sur les circonstances de cette interpellation funeste. La Brigade de proximité de Rosso Sénégal enquête désormais sur des faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, une qualification qui pourrait rapidement évoluer à la lumière des résultats de l’autopsie.

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