La course à la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD) s’intensifie, et une visite récente au Sénégal de Hakainde Hichilema, président de la Zambie et rival d’Amadou Hott, a suscité des interrogations. Voici les points clés de cette situation :
Hakainde Hichilema a effectué une visite officielle au Sénégal, ce qui a été perçu par certains comme une manœuvre pour renforcer sa position en vue de l’élection à la présidence de la BAD.
Cette visite intervient dans un contexte de compétition accrue pour ce poste, avec Amadou Hott, ancien ministre sénégalais de l’Économie, également en lice.
Selon certaines sources, Hakainde Hichilema aurait expliqué que sa visite visait à renforcer les liens bilatéraux entre la Zambie et le Sénégal, et à discuter de questions de développement économique.
Il aurait également souligné son engagement en faveur du développement de l’Afrique et sa volonté de travailler avec tous les pays du continent.
La présidence de la BAD est un poste clé pour le développement de l’Afrique, et l’élection suscite un vif intérêt.
Les candidats doivent démontrer leur capacité à diriger l’institution et à mettre en œuvre des politiques efficaces pour favoriser la croissance économique et le développement social.
La Banque africaine de développement joue un rôle essentiel dans le financement de projets d’infrastructure, de développement agricole et de lutte contre la pauvreté en Afrique.
La Banque africaine de développement entretient des liens étroits avec le Sénégal, et des visites officielles ont lieu régulièrement.
Ces visites permettent de renforcer la coopération et de discuter des projets financés par la BAD dans le pays.
Par exemple, le président de la Banque Africaine de Développement, Akinwumi Adesina, a effectué une visite officielle au Sénégal, et a notamment voyagé à bord du Train express régional (TER) financé par la Banque.
La visite de Hakainde Hichilema au Sénégal a suscité des interrogations, mais elle s’inscrit également dans le cadre des relations bilatérales entre les deux pays. L’élection à la présidence de la BAD est un enjeu majeur pour l’Afrique, et les candidats devront démontrer leur capacité à relever les défis du développement.