Elisabeth Borne, la femme qui dégainait les 49.3 plus vite que son ombre !

Pour sa réforme des retraites, qu’elle vient de saborder en haute mer, elle aura utilisé cet article vingt-trois fois, un record ! Heureusement, aujourd’hui, sous Lecornu 2, elle a été remisée dans un placard car elle commençait à sentir la naphtaline. 

A 64 ans une grossesse est nécessairement à risque, d’où l’avortement en question. De profundis !

 Et pourquoi, croyez-vous, a-t-elle immolé sa créature sur l’autel des sacrifices ? Tout simplement par crainte d’une dissolution, qui l’aurait fait disparaître des écrans radar de l’assemblée nationale. Exit, la bornée Elisabeth Borne ! 

Elle a été en effet élue députée en 2024, grâce à la complicité – complaisante – des Insoumis de Mélenchon, au nom du fameux barrage républicain. A quoi ça tient les convictions, quand les intérêts électoraux et l’ambition personnelle priment sur l’intérêt général. 

Après une carrière de haut fonctionnaire, E. Borne, est en effet le prototype parfait de l’arriviste en politique, le portait type de celles et ceux que les français ne veulent plus voir. Être élue, grâce aux voix des islamo-gauchistes, et antisémites, il n’y a pas de quoi être fière pour cette femme raide comme un tuteur de plants de tomates, au visage en lame de couteau et à la coupe en brosse digne de la légion étrangère. 

Quant à l’avenir de cette ancienne préfète, au patrimoine plus qu’enviable, pas de soucis, elle va retrouver son strapontin dans l’hémicycle, avant de tomber définitivement dans le néant lors de la prochaine élection législative. Car cette fois, LFI sera aux abonnés absents pour lui offrir une bouée de sauvetage, et comme d’autres elle sombrera alors dans le naufrage du Titanic de la macronie dont elle a été l’un des visages les plus détestés par des millions de manifestants.

Elle pourra alors bénéficier des effets de sa réforme des retraites, de son bébé mort-né, grand bien lui fasse, on ne la regrettera pas ! 

 Jean-Yves Duval, journaliste écrivain