La question a été abordée, mardi, par les membres de la « coalition des volontaires », la plupart européens, et devait être à nouveau au menu d’une réunion des chefs d’état-major de l’OTAN, mercredi. En jeu, le rôle des Etats-Unis et une éventuelle clause d’assistance mutuelle.
Battre le fer tant qu’il est chaud. Le débat sur les garanties de sécurité à apporter à l’Ukraine en échange d’un éventuel accord de paix avec la Russie s’accélère, après la visite à Washington des principaux dirigeants européens, lundi 18 août, afin de tenter d’infléchir le cours des négociations engagées entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Mardi, la question a été abordée par les 30 membres de la « coalition des volontaires », la plupart européens, mise en place pour poursuivre le soutien à Kiev. Mercredi, les chefs d’état-major des 32 pays de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) devaient discuter du sujet, également en visioconférence.
Si la perspective d’un cessez-le-feu paraît encore lointaine, les Européens sont d’autant plus soucieux d’accélérer leurs préparatifs que le président américain a confirmé, lundi, à ses visiteurs continentaux, en présence du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, son intention de contribuer à la sécurité de l’Ukraine, afin de décourager toute nouvelle offensive russe. Quoique encore incertaine, cette ouverture est considérée comme la principale avancée des discussions menées à la Maison Blanche. Donald Trump a assuré, sans entrer dans les détails, que les Etats-Unis « ser[aie]nt impliqués » dans ce domaine, avant de promettre une
AFP