Bonne retraite Mister President et mes hommages à Mélania !

A ceux et celles (des Républicains) qui s’inquiètent de l’avenir de Donald Trump je voudrais les rassurer. D’après mes sources, qui se nichent dans les placards de la Maison Blanche, entre les costumes du Président et les tenues affriolantes de la First lady, je peux vous dire que le milliardaire à le projet de devenir  joueur professionnel de golf sitôt la mi-janvier, lorsqu’il aura rendu les clefs de son prestigieux logement du 1600 Pensylvania* avenue, à Washington à son successeur Joe Biden.

En fait cela semble assez naturel pour celui qui est propriétaire de 19 parcours dans le monde entier dont certains prestigieux tels Turnberry en Ecosse, qu’il aurait acheté près de 45 millions de dollars et qui accueille régulièrement l’Open. On prétend qu’il affiche un impressionnant handicap de 2.8, mais certains affirment qu’il triche autant sur le gazon que dans le bureau ovale.  Il est vrai qu’il a consacré beaucoup de temps durant son mandat à jouer, pas moins de 25 heures en Floride durant son premier mois de présidence. Il est à ce point mordu de la petite balle blanche que sitôt descendu d’Air Force One après avoir assisté à Paris au défilé officiel du 14 juillet il s’est précipité au « Trump National Golf Club » (on a un ego ou ne l’a pas) à Beminister dans le New-Jersey pour remettre le trophée de l’Open féminin.

Le plus drôle de l’histoire est que Donald Duck, pardon Donald Trump, joue avec des balles françaises, des putters bretons de la marque Armor Meco située à Pieslin-Trivagou dans les Côtes d’Armor. L’histoire ne dit pas le nom de celles qu’il choisit dans la gamme baptisée par ses dirigeants d’après des noms de la légende du roi Arthur : Lancelot, Morgane, Merlin, etc. Je ne serais pas surpris que le milliardaire américain ait demandé aux fabricants français d’appeler une balle à son propre nom. Jouer avec une balle « Trump » sur un parcours à l’enseigne « Trump » voilà qui aurait de la gueule ! Bon, il faut quand même savoir que chaque putter « made in France » coûte pas loin de 800 euros, alors à ce prix là mieux vaut éviter de la perdre dans les bunkers de sable où les pièces d’eau. Je suggère à Emmanuel Macron d’offrir à son « ami » américain quelques balles en cadeau d’adieu lors de son pot de départ.

Donc pour en revenir à mes bruits de placards (moins garantis il est vrai que les bruits de couloirs) Donald « le malchanceux », devenu chômeur, aurait l’ambition d’égaler les records d’un Tiger Woods car comme chacun le sait l’actuel locataire de la Maison Blanche, qui vient de recevoir son préavis à quitter les lieux en janvier, aime passionnément l’argent ! Or Tiger Woods palpe bon an, mal an, quelques 60 millions de dollars de revenu annuel. De quoi lui permettre d’améliorer son ordinaire de retraité.

L’histoire retiendra qu’à l’heure où les grands Networks américains (CNN, NBC, Fox News, etc.) annonçaient comme ils le font, selon une tradition qui remonte à 1875, sa défaite face à Joe Biden, « limace orange » jouait au golf à Sterling en Virginie. Et tandis qu’il s’efforçait de mettre laborieusement une petite balle blanche dans le trou « Joe le gaffeur » s’apprêtait à lui botter les fesses. Cela ne s’invente pas !

Joyeuse retraite Mister President et mes hommages à Mélania, qui toujours d’après mes bruits d’étagères (celles où la First lady range ses escarpins dans son dressing) ne sera pas fâchée de retrouver une certaine forme d’anonymat et de se donner un peu d’air tant son encombrant mari, récemment surnommé de façon peu flatteuse « tortue obèse » commençait à lui …peser.

Jean-Yves Duval, Directeur d’Ichrono

  • Trump aurait dû se méfier de cette adresse car la Pennsylvanie aura été son Waterloo en apportant ses 20 grands électeurs à son adversaire Jo Biden.